Le père de Serge Gainsbourg était pianiste de bar, Serge Gainsbourg lui-même s’est frotté dans sa jeunesse à ce métier exaltant et ingrat à la fois.
Pour le 30ème anniversaire de la mort de Serge Gainsbourg, André Manoukian, pianiste de jazz et homme de médias adoré par le public français, nous offre un album aux ambiances piano bar, feutré, élégant et sensuel.
Dans Les Pianos de Gainsbourg, André Manoukian s’entoure d’icônes féminines que n’aurait certainement pas renié le grand Serge : l’étincelante Elodie Frégé, le chant métissé de Mandy Lerouge, Nesrine avec sa voix et son violoncelle puissamment expressifs. Une soirée savamment – et suavement – orchestrée, comme Manoukian nous y a déjà habitués, pour faire revivre la poésie transgressive et mordante des succès de l’homme à la tête de chou.
Chant Elodie Frégé, Nesrine, Mandy Lerouge
Piano André Manoukian
Batterie Pierre-Alain Tocanier
Contrebasse Gilles Coquard